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26 avril 2020

NOUS SOMMES EN GUERRE, jour 41

NOUS SOMMES EN GUERRE, jour 41 ( 26/04/2020 )

 

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CHLOROQUINE: Les militaires se protègent en se procurant une grande quantité de chloroquine le médicament largement utilisé à Marseille pour soigner les malades du coronavirus. Pour les autorités sanitaires aux ordres du gouvernement la chloroquine ne sert à rien comme les masques et les tests ne servaient à rien avant que la preuve du contraire soit faite . En sera-t-il de même pour la chloroquine ? Ce médicament n'a été autorisé par le gouvernement qu'en phase terminale. L'armée a-t-elle caché un nombre important de malades en phase terminale ? Si ce n'est pas le cas cela prouve, une fois de plus, que les forces de répression sont mieux traitées que les citoyens ordinaires.

 

On apprend ce matin que le conseil de santé a recommandé de n'ouvrir les établissements scolaires qu'en septembre mais, reconnaissant les impératifs économiques, il donne quelques instructions pour ouvrir les écoles le 11 mai. Comme pour les élections municipales c'est la politique qui décide en se cachant derrière des responsables de santé. Les parents ne seront donc pas obligés d'envoyer leurs enfants à l'école. Le gouvernement se décharge ainsi de sa responsabilité sur la santé de la population.

 

 Huffpost:

Coronavirus: de la chloroquine achetée par les armées en Chine

Le ministère dit avoir constitué un stock “par précaution” au cas où l'efficacité du traitement défendu (notamment) par le Pr Raoult était vérifié.

Le ministère des Armées reconnait avoir acheté de la Chloroquine à la Chine après la fuite d'une vidéo (photo d'illustration de Florence Parly et du général François Lecointre)

POLITIQUE - Le ministère des Armées a reconnu ce vendredi 24 avril avoir acheté de la chloroquine en Chine pour constituer un stock “par précaution”, si jamais ce traitement, dont l’efficacité contre le coronavirus fait débat dans le monde, était finalement validé par les autorités sanitaires.

“Dans un contexte de fortes tensions des approvisionnements de matières premières à usage pharmaceutique, le ministère des Armées a réalisé un achat de précaution, si jamais la chloroquine se révélait validée par les autorités de santé comme étant utile pour lutter contre le Covid-19”, a déclaré le ministère après la publication sur les réseaux sociaux d’une vidéo devenue virale montrant cette livraison à destination des armées.

L’infectiologue français Didier Raoult prône depuis le début de l’épidémie l’utilisation de l’hydroxychloroquine (dérivé de la chloroquine, un médicament contre le paludisme, NDLR) pour combattre le coronavirus.

Certains médecins, certains pays et des élus appellent à administrer largement ce médicament. Mais une grande partie de la communauté scientifique et des organisations sanitaires appellent à attendre une validation scientifique rigoureuse, mettant en garde contre les risques possibles pour les patients, notamment cardiaques.

 

Bon de commande de la “pharmacie centrale des armées”

En attendant les résultats, la France a adopté une position prudente : l’hydroxychloroquine est autorisée à l’hôpital uniquement, et seulement pour les cas graves.

La vidéo publiée jeudi sur les réseaux sociaux -et que vous pouvez retrouver ci-dessous- montre une livraison de barils étiquetés “phosphate de chloroquine”, provenant de Chine. Un homme en voix off affirme que ces barils contiennent un total de “70 kg” et montre un bon de commande de la “pharmacie centrale des armées”. Il en profite pour affirmer qu’on soigne les militaires avec ces médicaments, et ironise sur ceux qui se moquent du Pr Raoult.

 

Le ministère confirme que cette livraison provient bien de Chine et qu’il s’agit bien de “sel ou phosphate de chloroquine, qui permet le développement d’une forme injectable”. Il ne confirme toutefois pas la quantité de produits commandés.

 

Le Télégramme

Oui, l’armée française s’est procuré de la chloroquine, « par précaution »

 

Une vidéo, vue des centaines de milliers de fois sur les réseaux sociaux en moins de 24 heures, montre plusieurs barils de phosphate de chloroquine, indiqués comme provenant de Chine, et destinés, selon l’auteur des images, bordereau de livraison à l’appui, à « la pharmacie centrale des armées » du camp de Chanteau (Loiret). Le ministère des Armées confirme avoir acheté de la chloroquine en Chine, « par précaution ».

« On soigne les militaires, c’est bizarre tout ça », ironise l’auteur de la vidéo virale. Partagée plus de 30 000 fois sur Facebook, elle a également été relayée sur Twitter.

Contacté par l’AFP, le 24 avril, le ministère des Armées a reconnu avoir acheté de la chloroquine, en Chine, pour constituer un stock « par précaution », si jamais ce traitement, dont l’efficacité contre le coronavirus fait débat dans le monde, était finalement validé par les autorités sanitaires.

« Dans un contexte de fortes tensions des approvisionnements de matières premières à usage pharmaceutique, le ministère des Armées a réalisé un achat de précaution, si jamais la chloroquine se révélait validée par les autorités de santé comme étant utile pour lutter contre le Covid-19 », a déclaré le ministère.

L’infectiologue français Didier Raoult prône, depuis le début de l’épidémie, l’utilisation de l’hydroxychloroquine (dérivé de la chloroquine, un médicament contre le paludisme, NDLR) pour combattre le coronavirus.

Certains médecins, certains pays et des élus appellent à administrer largement ce médicament. Mais une grande partie de la communauté scientifique et des organisations sanitaires appellent à attendre une validation scientifique rigoureuse, mettant en garde contre les risques possibles pour les patients, notamment cardiaques.

Position prudente de la France

En attendant les résultats, la France a adopté une position prudente : l’hydroxychloroquine est autorisée à l’hôpital uniquement (un décret du 25 mars précise d’ailleurs que les hôpitaux des armées sont concernés), et seulement pour les cas graves.

Certains internautes se sont demandé si cette chloroquine, qui est un antipaludéen, ne pouvait pas être destinée à permettre à des soldats en opération de lutter contre le paludisme. Contacté, le ministère des Armées a répondu que « la chloroquine était effectivement utilisée au sein des armées dans le traitement préventif du paludisme mais ne l’est plus aujourd’hui ».

L’homme en voix off affirme que les barils contiennent un total de « 70 kg ». Il en profite pour affirmer qu’on soigne les militaires avec ces médicaments, et ironise sur ceux qui se moquent du professeur Raoult.

Le ministère confirme que cette livraison provient bien de Chine et qu’il s’agit bien de « sel ou phosphate de chloroquine, qui permet le développement d’une forme injectable ». Il ne confirme toutefois pas la quantité de produit commandé.

 

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