TOUT VA TRÈS BIEN 2

TOUT VA TRÈS BIEN 2 8 mars 2008 CHINE Bravo les Parisiens! La flamme olympique, protégée par les Chinois, n’a pas pu traverser Paris sans difficultés. Le parcours a été émaillé d’incidents et les protestataires contre la répression au Thibet ont été suffisamment nombreux et efficaces pour obliger les organisateurs à annuler des étapes et éteindre plusieurs fois la flamme. L’ami Thierry Garrel, député vert de Paris, a été le premier à intervenir. Des parlementaires de droite et de gauche ont déployé une banderole sur l’Assemblée Nationale, Reporters sans frontières a réussi à déployer des banderoles sur la Tour Eiffel et sur Notre Dame. Les brutalités policières contre les manifestants non-violents, contre les journalistes et contre les Thibétains, n’ont pas réussi à arrêter le mouvement. Les choses avaient été bien préparées par les journalistes qui avaient publié la vieille et le jour même le parcours de la flamme dans la Paris avec, en plus, les horaires de passage. Si les Français sont capables d’organiser une telle protestation contre le gouvernement chinois, que j’approuve totalement, j’espère qu’ils seront capables d’organiser la même protestation contre la venue à Paris des autres oppresseurs de la planète, qui sont nombreux et au premier rang desquels on peut mettre M. Bush, avec sa guerre en Irack et son soutien à la peine de mort. DARFOUR Le responsable de l’Arche de Zoë, libéré, commence à parler. Il révèle ce que nous savions déjà, que le gouvernement français était complètement au courant de leur opération et que cette opération était destinée à faire basculer l’opinion française dans son soutien au déploiement de forces militaires au Darfour où le pétrole est présent. En somme la même opération, montée par les services secrets, à l’époque du Biafra et destinée à entraîner la France dans un conflit au Nigéria pour le pétrole. De Gaulle n’était pas tombé dans le piège. Le chef d’état tchadien, lui-même protégé par les services secrets, a fait capoter l’opération. Il n’avait pas dû obtenir sa part du gâteau! Tout va donc pour le mieux. Il ne reste plus qu’à payer la facture. Les contribuables se feront un plaisir d’aider nos pauvres gouvernants à résoudre ce problème délicat.